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 Fiesta chez Lola

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2 participants
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Hayleen R. Blackburn

Hayleen R. Blackburn


Messages : 19
Date d'inscription : 06/04/2012

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MessageSujet: Fiesta chez Lola   Fiesta chez Lola Icon_minitimeMar 10 Avr - 16:45

♣️ Lieu du Rp : Londres
♣️ Titre du Rp : Euh... je sais absolument plus le titre, mais je sais qu'il est dans la catégorie pays étranger et que c'est Lola qui l'a créé ça a un rapport avec une fête qu'elle organise ^^
♣️ Que vous faut-il ? Toutes les réponses
♣️ Autres : Merci Very Happy
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Dominus Tenebrae
Admin



Messages : 18
Date d'inscription : 26/03/2012

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MessageSujet: Re: Fiesta chez Lola   Fiesta chez Lola Icon_minitimeMar 10 Avr - 16:57

Voilà Very Happy

Lola :

    Fiesta chez Lola Tumblr_m17h5vG4CY1rpvjj7o1_500

    Lola, un sourire immense s'épanouissant sur ses lèvres, vérifiait que tout était prêt pour l'énième soirée qu'elle donnait chez elle -ou alors la suite de la veille en mieux ou n'importe quel autre qualificatif on voudrait bien donner à cette fête. De retour chez elle, en Espagne, dans la maison de ses parents -vide alors qu'ils travaillaient au Ministère à faire elle ne savait pas quoi. L'immense domaine des Matanza se trouvait bien loin de toute activité moldue pour qu'ils puissent pratiquer la magie sans aucun soucis, faire du Quidditch même, et surtout, la fête sans gêner personne. Derrière ses airs simples et pas prise de tête, on oubliait souvent que la jeune femme était fille de diplomates et issue d'un milieu favorisé ; Lola était tellement loin de toute superficialité liée à l'argent ou autre façade ridicule. Vêtue d'un short et de son haut de maillot de bain, elle alluma les dernières bougies qui produisaient une lumière suffisamment forte pour éclairer la terrasse, l'immense piscine et les tables qui servaient de buffets, les tentes et les matelas qui gisaient un peu partout sur la pelouse. Des sortilèges domestiques tenaient éloignés les insectes nocturnes.

    Pieds-nus, elle s'avança sur la terrasse, encore chaude d'avoir été exposée au soleil toute la journée, salua les quelques personnes qui s'y trouvaient -les autres devaient être encore en train de se préparer ou faire elle ne savait (ne voulait pas savoir aussi) quoi. Elle ajouta les bouteilles qu'elle avait en main et se retourna. Un sourire resplendissait sur son visage.

    Alors que la dure année qui venait de s'écoulait restait malgré tout bien profondément ancré dans sa mémoire, alors que les blessures physiques comme moral ne cicatrisaient pas toutes -comme en témoignait l'immense cicatrice qui partait de son épaule pour se perdre dans son dos-, retourner dans son pays natale, retrouver la chaleur et le soleil de l'Andalousie, pouvoir volontairement mettre de côté tristesse et malheur pour juste s'amuser la ressourçait plus que n'importe quel potion médicale. Entraîner Artémis à taper dans un cognard avec Ilyas et Jedediah pendant qu'Auguste, le petit ami du français, les regardait avec un air paniqué comme s'ils allaient découper le jeune homme en morceau d'une minute à l'autre, s'engueuler avec ses amis en mélangeant espagnol, russe, anglais et français, danser, chanter, hurler, sauter à pied joint dans la piscine, y pousser Auguste tout habillé pour le décoincer un peu ; être insouciante et ne pas culpabiliser de l'être rendait Lola véritablement heureuse.

    L'idée lui était venue durant la fête dans le bureau du directeur de Durmstrang, alors qu'elle réalisait pour la première fois qu'elle quittait la Russie, qu'elle quittait Jedediah, qu'elle quittait Ilyas, qu'elle quittait Jaroslav ; qu'elle changeait de repères dans sa vie. L'idée lui était venue alors qu'elle dansait avec Jedediah ou alors qu'elle tentait de faire rire, ou alors prenait-elle un nouveau verre ou une bouffée sur le joint d'Ilyas -elle ne savait plus trop en fait- elle avait invité la moitié de l'Institut Russe chez elle pour les vacances d'été, ainsi qu'Artémis, venu avec Auguste, Zoey -la copine anglaise de Jed que Lola adorait- et les amis d'amis. Toutes les chambres étaient occupées, des tentes plantées dans le jardin. L'alcool coulait à flot, les rires résonnaient.

    Et Lola souriait à nouveau, et ses yeux aussi.

    Se dirigeant vers la platine pour la musique, elle appuya sur le bouton, donnant le départ d'une nouvelle fête.

    Se tournant vers les deux français, Lola s'approcha avec un grand sourire du plus blond des deux -celui qui avait le plus l'air de se demander ce qu'il fichait là, aussi. « Ye t'emprunte ton charmant compagnon pour lui apprendre à s'amuser un peu. J'espère qu'il sait danser la salsa, ou alors ye devrais lui apprendre...». Un sourire pleins de promesses et de défis et sans demander son avis à Auguste, Lola l'entraîna sur la piste de danse.


Auguste :
Il s'était retrouvé embarqué là-dedans un peu malgré lui. Il devait bien l'avouer. Mais la perspective de passer quinze jours avec Artémis, loin de toute autorité parentale, l'avait plus que séduit. Surtout après les évènements de la fin d'année scolaire. Se séparer de lui avait été une torture de chaque instant. Et pouvoir partager la douceur de moment en sa compagnie, des moments calmes et paisibles, dans un lieu isolé, c'était tout ce qu'il voulait. Bien sûr il y avait tous ces élèves de Durmstrang, qu'il ne connaissait pas. Ils lui faisaient d'ailleurs peur, pour la majorité d'entre eux. Un roux qui se promène à poil au milieu de tout le monde n'était pas le genre de spectacle auquel il était habitué. Lola faisait tout pour qu'il se sente bien, enfin il estimait que c'était ce qu'elle tentait de faire. Pour le dérider un peu. Cela l'avait un peu énervé, au début, puis il avait fini par en être amusé. Et puis il comprenait qu'on puisse vouloir le décoincer un peu, quand il passait ses journées caché sous un parasol pour ne pas infliger à sa peau fragile la violence des rayons du soleil. Mais finir en écrevisse n'était pas dans ses objectifs. Il bénissait d'ailleurs les potions que sa grand-mère lui avait offertes.

Et puis passer du temps avec le brun valait toutes les petites farces du monde. Surtout quand lui aussi s'y mettait, qu'il le poussait à son tour dans l'eau douce du bassin, prenant cependant le soin de lui enlever quelques vêtements au préalable. Parce que dans ces moments c'était comme si les autres n'existaient plus, ils étaiens restés dans l'eau, à se faire face, à demi-nu. La tension sexuelle de plus en plus virulente entre eux avaient explosé alors. Il n'était jamais passé à l'étape suivante. Peut-être par retenue, pour tous ceux qui les entouraient sans-cesse. Cette après midi là avait été l'un des instants les plus intenses de leur été. Du moins jusque là. Ils étaient restés à se regarder, l'Hypnos effleurant du bout des doigts les cicatrices encore marquées sur la peau du blond. Puis ils s'étaient embrassés, sans faire attention à tous ceux qui les regardaient peut-être. Ce qui, venant de l'Hestia, était sans aucun doute l'une des plus grandes preuves d'amour qu'il puisse lui donner. Et Auguste avait eu beaucoup de mal à s'arracher de ses lèvres, à en rester là. Son désir se faisait de plus en plus grand, et le réfréner devenait difficile.

Finalement il ne regrettait pas d'être venu, c'était agréable. Bon, certes, il avait l'impression que les autres faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour l'inquiéter. Faire grimper Artémis sur un balais et lui envoyer des cognards dessus n'était pas vraiment pour le rassurer. Il avait passé l'instant figé, baguette en main, prêt à lancer des sortilèges de protection à chaque instant. Il en avait même oublié Socrate, paniqué, qui tournait autour de lui et s'accrochait à ses jambes. Mais malgré ces petits évènements, il fallait bien reconnaitre qu'il appréciait ces soirées insouciantes, ces journées de farniente. Et il s'apprêtait justement, pour une autre de ces fêtes qu'il avait découvertes avec une pointe de plaisir tout de même. Il n'avait pas prévu de vêtements trop guindés, il se doutait bien que ce n'était pas vraiment le lieu pour ça. Et il devait reconnaître qu'il avait été surprit en découvrant la demeure dans laquelle ils avaient emménagé. Un maison digne de la sienne. La brune venait manifestement d'une famille plutôt aisée. Mais l'ambiance ne nécessitait pas de costumes et autres smokings. Aussi enfila-t-il un simple pantalon de toile bleue ciel, une paire d'espadrilles plus foncée, et une tunique de lin blanche. Même avec des vêtements si peu usuels chez lui, et plutôt décontractés, il était d'une élégance remarquable. C'était dans sa nature après tout, il ne se déferait jamais de cette classe innée qui lui était propre. Son canotier vissé sur la tête, et après un long baiser échangé avec le garçon qu'il aimait, il prit la direction de la terrasse où les hostilités auraient lieu, ne lâchant pas sa main.

Il dut pourtant la lâcher, quand Lola l'invita à danser. Il ne pouvait refuser, elle était leur hôte et puis il aimait bien danser. Sans maîtriser parfaitement la salsa, il connaissait toutes les danses de salon, aussi s'évertua-t-il à faire de son mieux, et il espéra l'impressionner un peu. Elle était plus douée que lui, c'était indéniable, mais il se défendait bien. Il était probablement un peu trop raide, mais il lui faudrait quelques verres pour se libérer davantage. Le buffet lui faisait d'ailleurs de l'oeil. Et il ne demandait qu'un peu d'alcool pour se mêler à cette ambiance. La danse terminée il s'inclina face à elle. Les manières étaient trop ancrées dans ses habitudes pour qu'il les oublie aussi facilement.

C'était un plaisir, Mademoiselle.

Il lui décrocha un petit sourire entendu, elle devait connaître cela, elle aussi, et peut-être qu'elle trouverait ça amusant. Il s'éloigna rapidement, il n'était pas vraiment disposé pour enchaîner sur un second tour. Il attrapa le verre d'Artémis et le vida. Puis il posa sa tête sur son épaule. Il était bien.



Aurélia :

Dernière danse ;
Aurélia ne savait même plus comment elle en était arrivée là. Ah, si, Amadeus. Le jeune homme l’avait aimablement conviée à la fête qu’organisait une de ses amies et elle, petite innocente, avait accepté docilement. C’est en passant le portail du domaine qu’elle se rendit compte que venir avait certainement été une erreur. Lola Matanza, l’organisatrice de la fête, étudiait à Durmstrang. Les étudiants de l’institut russe étaient donc majoritaires… Et elle n’en connaissait aucun. Aurélia se mordit la lèvre. Elle espérait que quelques camarades français s’étaient glissés sur la liste des invités.

Pour l’occasion, l’Hestia avait revêtu une robe bleue à sequins. Elle n’était ni trop courte ni trop décolletée mais semblait convenir aux circonstances. Ses pieds étaient ornés d’escarpins noirs et ses cheveux tout simplement lâchés sur ses épaules. La blondinette arborait un maquillage léger adapté aux chaleurs de l’été.

Ce soir, Aurélia avait décidé de tout oublier. D’oublier la guerre, d’oublier cette horrible année passée sous le signe du danger. Elle avait aussi choisi d’oublier le départ de Knox. Savoir qu’elle n’allait plus revoir quotidiennement à l’Académie celui qu’elle aimait plus que tout lui déchirait le cœur à la simple évocation du nom Blackallister. Tout se sortir du crâne, un soir, et profiter de cette occasion que lui offrait Amadeus d’être libre.

La nuit était presque tombée sur le domaine andalou des Matanza. Aurélia sourit à Amadeus et s’avança en direction de la maison. Elle pouvait déjà entendre quelques notes de musique, une salsa endiablée. Danser. Voilà ce qui lui ferait le plus grand bien. L’Hestia pressa le pas, soumise malgré elle aux regards inquisiteurs de tous ces inconnus installés sur l’immense terrasse. Ils devaient se demander qui elle était, elle, qui n’avait aucun lien avec eux. Aurélia se sentait quelque peu intimidée de voir ces regards braqués sur elle et s’engouffra enfin dans la demeure.

On entendait toujours le même morceau de salsa. Une musique entraînante, enivrante même. Le poids qui pesait encore sur les épaules de la jeune femme lors du voyage s’envola : elle avait enfin tout oublié. Juste pour un soir. Juste pour ce soir.

En braquant son regard vers la piste de danse pour voir qui y évoluait, Aurélia fit une grimace. Elle avait espéré y voir des visages connus afin de la rassurer. Celui qui dansait sur la piste avec une jolie brunette, elle le connaissait. Oui, elle le connaissait, et trop bien. Auguste. Elle avait eu une chance sur mille de voir là celui qu’elle ne voulait surtout pas voir. Elle l’évitait depuis des temps immémoriaux, néanmoins la confrontation semblait inévitable dans un contexte pareil. Mais après tout, il ne fallait pas forcer les choses. La confrontation aurait lieu tôt ou tard, qu’elle le veuille ou non, se focaliser sur la présence de son… ancien ami n’apporterait rien de bon.

Aurélia était chamboulée par une si mauvaise découverte, à une soirée à laquelle elle était censée s’amuser. Elle repéra Amadeus et se dirigea à grands pas vers lui. Une fois arrivée à sa hauteur, elle lui demanda d’une voix aussi basse possible, mais mal maîtrisée :

« Tu ne m’avais pas dit qu’Auguste était invité à cette fête… »

Un regard exaspéré plus tard, elle avait déjà rejoint le buffet. A la vue d’Auguste, ses mauvais souvenirs étaient revenus hanter son esprit. Non pas des souvenirs de la guerre, mais des mémoires plus profondes, ancrées au fond d’elle-même dont elle essayait de se débarrasser depuis des lustres… Elle se rappelait encore en détail les mots qu’elle avait eus avec Auguste et qui avaient brisé leur amitié… Sa trahison. Il l’avait trahie. Elle devait oublier cela aussi ce soir, et l’ambiance ne pouvait pas suffire à estomper les erreurs de ce traître. Aurélia s’avança vers une personne à demi cachée dans l’ombre, qu’elle ne pouvait discerner. Incapable de deviner son identité, elle lui demanda en anglais :

« Sers-moi un verre s’il te plaît. Quelque chose de fort. »

La soirée allait pouvoir commencer.



Hugo :

Tonight, We are young.
so let's set the world on fire. We can burn brighter than the sun


    L’Espagne. C’était la première fois que je m’y rendais. Et honnêtement, ça en jetait. Soleil, chaleur, mer et fiesta. Je n’allais pas me plaindre. C’était exactement ce qu’il me fallait pendant les vacances, après tout ces événements sombres, ces pertes. Il fallait recommencer à vivre et à espérer.
    Et ce voyage je le devais à Lola. J’avoue avoir été surpris de son invitation, mais aussi flatté. Cette fille était incroyable, petite mais avec un caractère puissant. Je l’avais rencontré lors de mon excursion dans son école, elle était devenue ma guide puis une amie. On s’était revu lors du Tournoi, et par un heureux hasard j’avais découvert que nous avions beaucoup d’amis en commun, dont mon frère de cœur Artémis. Je devinais qu’il serait présent lui aussi à cette fête, et aussitôt j’avais embarqué par la cheminée, direction le soleil.

    Il y avait beaucoup plus de monde à cette fête, beaucoup de russes mais aussi des camarades français. Lola connaissait bon nombre de personnes, et s’assuraient de la bonne entente de ses invités. Même je ne reconnaissais que de loin certains visages, cela ne me gênait en aucun cas. Après tout c’était l’occasion de faire connaissance dans de meilleurs hospices. Je descendis de ma chambre d’invités, vêtu d’un jean retroussé aux chevilles et d’un t-shirt gris, exposant mon bras fièrement tatoué. J’avais également prévu un boxer de bain au cas où la piscine nous appellerait. Il faisait encore bon malgré l’heure tardive, le ciel espagnol était plus clair que celui du Luxembourg.
    De la musique s’élevait de la terrasse, m’indiquant le chemin à suivre pour retrouver mon hôte. De suite mon regard se posa sur la chevelure brune de Lola, virevoltant au gré des notes de musiques épicées de la salsa et aux pas de danse de son cavalier. Auguste. J’aurais dû m’en douter qu’il serait là. Il était le petit-ami d’Artémis, mon protégé. Ce n’est pas que je n’aimais pas le blond, j’avais eu une nuit d’aventure avec lui et je l’avais charrié avec cela. Il ne m’aimait pas, et encore moins depuis qu’il avait compris que j’étais proche de son amoureux. Artémis, un garçon adorable mais fragile, que j’ai pris en amitié en voyant mon Ama se moquer de lui. C’est intéressant de voir comment des meilleurs amis peuvent avoir des avis différents sur d’autres personnes.
    J’inspirais, et décidais de ne pas causer d’histoires ce soir. Artémis était heureux et c’était le principal, je n’étais pas son père et par conséquent je n’avais pas mon mot à dire sur ses fréquentations. Je fis quelques pas et allais me chercher un verre au buffet.
    Quelques sourires, des salutations et je m’emparais de la boisson. Tequila-sunrise. Une bonne surprise. La musique résonnait encore, et je m’imaginais danser là-dessus avec une superbe brune aux yeux envoutants. Eh oui. Même en vacances je ne cessais de penser à Sélène. Je ne savais pas ce qu’elle faisait de son été, surement dans sa famille aux USA. Je connaissais l’adresse, et j’avais pour projet de m’y rendre. Folle décision j’en étais conscient, mais elle m’inspirait cette folie.

    Une camarade française était elle aussi au buffet, son regard braqué sur Debraie. Elle glissa quelques mots à … Amadeus. Je ne l’avais même pas reconnu. Je me dirigeais vers eux, un sourire aux lèvres. « Ne me dîtes pas que vous êtes des groupies de Debraie. » J’avais dis ces mots sur le ton de la plaisanterie, histoire de m’introduire à eux. La jolie demoiselle en compagnie d’Amadeus n’était rien d’autre que la « copine » de Knox. A croire que j’étais lié à tout les garçons en couple de l’école. Un jour ma réputation allait me porter préjudice.




Alexander :





L’Espagne, encore un rêve qui se réalisait. Je ne pouvais pas me dire malheureux. Certes, je n'avais pas eu que des choses roses, mais aujourd'hui, je voulais relativiser, tout recommencer, et même si mentalement, cela restait dure, je ne pouvais me plaindre. Certain ne pouvait pas avoir cette liberté que j'avais malgré leur majorité, et puis, j'étais libre comme cela avant mime ma majorité. En effet, depuis environ 2 ans voir même un peu plus, j'étais Orphelin, et j'avais acquis une liberté folle par ce drame qui n'en était pas réellement un pour moi. Je n'avais malheureusement pas pu trouver le moment, le temps pour aller dans d'autres pays que ceux que je connaissais déjà, mais enfin, cela se produisait.

Lola, c'était grâce à elle que j'allais pouvoir voir l'Espagne, et c'était pas sans me déplaire. Nous avions tous besoin de détente, de soleil, de soirée, et elle allait nous apporter cela durant quelques temps, et c'était cool. Je n'étais pas spécialement son meilleur ami, et vice-versa, mais nous étions de la même année, et je pense qu'en plus du fait qu'elle s'était donné la tache de me faire rire, et qu'on avait ce petit jeu ensemble; le fait que je ne sois pas un mokop du genre "je méprise les autres" avait joué en ma faveur. Lola m'avait donc invité à venir en Andalousie durant deux semaines environ. Elle m'avait expliqué que nous pourrions camper dans son grand jardin, et que nous serions très nombreux, histoire de faire des grandes fêtes super cool.

Il y a de nombreuses personnes d'invités comme elle me l'avait dit, mais là, je suis vachement impressionné. Je ne pensais pas que Lola avait autant d'ami, c'est choquant ! Je regarde autour de moi, encore un peu timide, malgré les nouvelles résolutions que j'essaie de mettre en route. Oui, oui, j'ai décidé à la fin de tous les problèmes qu'il y a eu, les batailles, les pleures, que je devais relativiser, et donc ne plus être ce solitaire, qui reste renfermer, mais ce n'est pas si simple de changer. Je compte bien commencer ce soir.

Je voyais Lola courir d'invité en invité, elle veillait surement à ce que tous le monde essaie de s'entendre. Auguste Debraie dont j'avais vaguement entendu parlé, avait son nom dans toutes les bouches, et pourtant, je ne trouvais pas qu'il avait quoi que ce soit d'attractif ... Quoique son postérieur n'avait rien de repoussant ... J'eus une expression étrange à cette pensée. Mon sourcil se leva d'étonnement, puis, je secouais ma tête, et regardais à nouveau les gens qui se trouvaient là, cherchant en vain une de mes connaissances. Apparemment, mes amis n'étaient pas encore là. Pas de Irina, ni de Delilah,par exemple. Soudain, j'entendis une voix que je connaissais bien dire dans mon dos, a quelques pas, une phrase des plus drôle, qui me rappelait cette même personne ... Hugo. Je me retournais, et me dirigeais vers lui.

« Toujours aussi jaloux ... et sexy à ce que je vois Hastings ... »

Je savais que la deuxième partie de ma phrase lui plairait, et puis, c'était pas choquant, car c'était notre truc de se parler comme ça. Je lui donnais une tape amicale sur l'épaule, et lui offrait un de mes plus beau sourire. Hugo était l'un de mes ex, et surement, celui qui me ressemblait le plus niveau phrase qui tue à sortir dans les bons moments. Je n'étais même pas étonné de le retrouver là, et même si j'aurais préféré ne pas trop l’être, j'étais vachement content de le retrouver. C'était toujours de retrouver ces ex sans s'y attendre réellement, non ?

« LJe ne m'attendais pas à te voir ici ... »

Je vis Lola passer au loin, et je lui adressais un sourire au moment propice, soit à l'unique moment où je pus accrocher son regard, juste histoire de lui signaler que j'étais bel et bien venu. Je me doutais que déjà n'arrivant pas à atteindre son but de me faire m’esclaffer, elle s'était imaginée que je ne viendrais pas, ou surtout que j'annulerais au dernier moment ... mais non, Alexander est là, prêt à faire la fête !




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Hayleen R. Blackburn

Hayleen R. Blackburn


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MessageSujet: Re: Fiesta chez Lola   Fiesta chez Lola Icon_minitimeMar 10 Avr - 16:57

Merciiiiii *-*
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MessageSujet: Re: Fiesta chez Lola   Fiesta chez Lola Icon_minitime

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